Masters of Horror
Les Maîtres de l'horreur
Une série d'anthologie avec un grand nom du cinéma d'épouvante derrière chaque histoire... Les Maîtres de l'horreur (Masters of Horror) est une série télévisée américaine en 26 épisodes de 55 minutes, créée par Mick Garris
Terminée | Américaine | 60 minutes |
Epouvante-Horreur, Drama, Fantasy, Horror | Showtime, Canal+ | 2005 |
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1.03 - La danse des morts
Dance of the Dead
Dans un monde cauchemardesque post-apocalyptique, des corps réanimés dansent sur la scène du Doom Room pour le plaisir des quelques survivants d'une catastrophe nucléaire...
Diffusion originale : 11 novembre 2005
Diffusion française :
11 novembre 2005
Réalisat.eur.rice.s :
Tobe Hooper
Scénariste.s :
Richard Christian Matheson
,
Richard Matheson
Guest.s :
Le réalisateur : Le mythique Tobe Hopper auteur du cultissime Massacre à la tronçonneuse. Après ce coup d'essai/coup de maître, il a tourné Le Crocodile de la Mort et Massacres dans un Train Fantôme que je n'ai pas vu (le second a de très bons retours), l'excellent Poltergeist, Lifeforce (film qui passé à l'époque sur la Cinq de Berlusconi en prime-time et qui émoustilla le jeune Nicknack que j'étais en proposant la poitrine dénudée de Mathilda May), puis l'excellent Massacre à la tronçonneuse 2 (que perso, je préfère au premier, les puristes vont hurler). Après ça, il s'est un perdu et je ne l'ai plus trop suivi.
L'épisode : L'ambiance est top. Une espèce de steampunk décadent et dégénéré. On peut aussi y voir une critique acerbe du monde du spectacle, obligé d'aller de plus en plus loin pour satisfaire les envies des spectateurs. Il y aussi Robert Englund, aka Freddy Krueger qui cabotine comme un diable sorti de sa boite et s'amuse à interpréter ce MC grimaçant et libidineux qui semble prendre son pied à coucher avec des mortes-vivantes.
Par contre, l'histoire de fond n'est pas terrible terrible, cette love-story entre la gentille fille sage qui tombe sous le charme du bad guy au grand cœur est très moyenne. D'ailleurs, la scène où ils flirtent dans le resto avant de partir en virée offre des dialogues gênants de débilités. La fin est très moyenne aussi, avec la grosse coïncidence de la sœur qui "danse" le jour même de la première visite d'Ingrid et le twist sur la mère. Moches aussi sont les effets de style avec zooms agressifs et images qui sautent qui apparaissent toutes les deux minutes.
Bref, un bon décor, mais une histoire médiocre et peu inspirée.